segunda-feira, 4 de agosto de 2008

DECEVANT: Des militaires et paramilitaires se refusent de payer les tickets dans les nouveaux bus

Des militaires et paramilitaires se refusent de payer les transports urbains à Conakry dans les nouveaux bus mis en circulation en juin dernier, par l'Etat guinéen. Ces militaires qui ne donnent aucune raison de leur refus, se contentent tout simplement de monter et de s’asseoir sans aller au billetage pourtant obligatoire pour tous les passagers...
Le paradoxe est que ni le guichetier, ni les passagers, ni les contrôleurs ne réagissent au refus de payement de tickets par les militaires. Cette étonnante indifférence des citoyens indique bien la frousse semée par les hommes en uniformes depuis les événements de juin dernier.

ALPHA IBRAHIMA KEIRA : La ''revanche'' de Lansana Conté sur les événements de 2007

Il y a quelques mois, nul ne pouvait s’imaginer qu’Alpha Ibrahima Kéira, l’une des personnes par lesquelles les événements de janvier et février 2007 sont arrivés, pouvait ‘’renaitre’’ aussi rapidement. Et pourtant, désormais, c’est chose faite !...

PAYSAGE POLITIQUE : Un nouveau parti appelé ARG

Le paysage politique guinéen vient de s’enrichir d’une nouvelle formation politique appelée : Alliance pour le renouveau en Guinée (ARG). Son président-fondateur, un transfuge du RPG, M. Mamadi N’Famari Condé, a tenu ce samedi, 2 aout 2008, un meeting au siège national du parti, au quartier Hérémakonon...
Une première grande réunion qui a mobilisé des dizaines de militants responsables, sympathisants et curieux. En bon politicien, et dans son premier discours officiel politique, le nouveau leader de parti s’est érigé en fervent défenseur des jeunes, des femmes et des personnes du troisième âge. Il s’est prononcé en faveur de la bonne gouvernance et du partage équitable du revenu national. Il a promis de faire le tour de la Guinée pour passer ce message philanthrope. Avec l’espoir que les actes vont suivre.

PRESIDENCE : La guerre des clans reprend

Alors que l’opinion publique commente encore, avec passion, la dernière promotion de M. Alpha Ibrahima Keira, par décret présidentiel, comme ministre-secrétaire général de la Présidence de la République, en remplacement de Sam Mamady Soumah, voilà que Lansana Conté reprend sa plume, pour propulser le même Sam, cette fois, comme ministre d'Etat à la Présidence de la République, chargé des Activités présidentielles. Soudain, tout le monde s’arrête, car personne ne comprend plus rien…
Soit l’un des décrets est faux, soit tous les deux sont vrais. Et dans ce cas, qui chasse l’autre ? Qui va faire quoi à la présidence de la République ? C’est vraiment la guerre des clans qui reprend. En moins de 48 heures, Lansana Conté lance son peuple dans les interminables calculs du jeu politique. Du coté des différentes parties, chacun brandit son décret et le croit au-dessus de l’autre. En tout cas, cette valse de décret et contre-décret, a le goût de souvenirs amers des jours qui ébranlèrent le pays, avec Cellou Dalein et Fodé Bangoura qui s’entredéchiraient pour le pouvoir. Ce lundi 4 août sera à scruter de très près. A quelles passations ou prises de service, allons-nous assister ? Une chose est sure, c’est l’affrontement fatal entre Alpha Ibrahima Keira et Mamady Sam Soumah.

Guinée : Alpha Ibrahima Kéira de retour dans le gouvernement

L’on n’aurait jamais cru qu’un jour Alpha Ibrahima Keira, l’ancien ministre de la fonction publique, serait de retour dans le gouvernail politique de la Guinée. C’est pourtant chose faite. Les spectateurs du journal de 20H30 de la télévision nationale ont été surpris d’entendre la nomination d’un ministre secrétaire général à la présidence. Il s’agissait du retour du gendre du président dans le gouvernement après avoir été chassé par les mouvements populaires de janvier et février 2007.
Pour la petite, il faut noter qu’après le limogeage de Aboubacar Sylla, ancien ministre de l’information, de Alpha Ibrahima Keira, ministre de la Fonction publique etc., le président de la République a annulé le décret portant le limogeage de Keira. Il est revenu dans le gouvernement. A partir de là, l’inter centrale syndicale a tapé sur la table et posé des conditions au président de la république. Soit tous les deux reviennent au gouvernement ou bien ils partent. Le président a fait la sourde oreille. A partir de là, les choses ont commencé à changer. C’est ainsi les syndicalistes ont lancé leur avis de grève le 10 janvier 2007. Cette grève historique au pays de Lansana Conté, s’est soldée par la nomination d’un premier ministre, chef du gouvernement. Si le président croit opportun de nommer Keira après un an seulement et demi, la réaction des forces vives de la nation est attendue. Si non rien ne cache plus la volonté du chef de l’Etat de faire revenir tous les anciens proches dans le gouvernement. Lansana Conté a prouvé aux yeux du monde qu’il a saboté le protocole d’accord signé pendant les mouvements de grève entre le gouvernement, l’inter centrale syndicale et le patronat. C’est une manière de dire comme il l’avait déjà dit en extirpant Mamadou Sylla et Fodé Soumah de la prison, l’Etat c’est lui, la Justice, c’est lui. Quelle aberration ? Et quelle honte pour le pays ? Comme en Guinée, c’est l’impunité qui règne, alors avec le retour des faucons bonjour les dégâts. Le président au lieu de se soucier des problèmes socioéconomiques que le pays est confronté, il s’intéresse plutôt à nommer ses proches parents aux postes juteux de l’administration. N’est-ce pas pour mieux piller le reste de l’économie nationale. Car, il faut le noter depuis le départ de Kouyaté, la population n’accorde plus de crédibilité au gouvernement en place à cause notamment du nombre pléthorique des ministres et de leur manque d’expérience. Une plaie difficile à guérir en Guinée tant que les ennemis du changement rôdent autour de Lansana Conté.

Zimbabwe : une nation de milliardaires. L’inflation a atteint des records dans un pays confronté à une grave crise politique

Dans quel pays du monde peut-on être multimilliardaire et continuer de souffrir de la faim ? La réponse est, bien sûr, au Zimbabwe. La Banque de réserve du Zimbabwe a fixé la limite de retrait quotidien à 100 milliards de dollars zimbabwéens, environ 1,25 dollar américain. Un montant bien loin de couvrir les frais quotidiens de la population, qui subit le taux d’inflation le plus élevé au monde.
Une miche de pain coûte 100 milliards de dollars zimbabwéens selon le cours officiel, un kilogramme de viande 450 milliards de dollars zimbabwéens (environ 5,60 dollars américains), tandis que le demi-litre de lait se vend à 200 milliards de dollars zimbabwéens (environ 2,50 dollars). Sur le marché parallèle, où s’approvisionnent la plupart des habitants, les prix sont nettement plus élevés.Ernest Nyandoro, 43 ans, travaille comme ouvrier temporaire dans une briqueterie à Bulawayo, deuxième ville du Zimbabwe. Il a fait la queue à la banque pendant quatre heures avant d’accéder enfin au guichet et se voir remettre ses deux billets de 50 milliards de dollars zimbabwéens.Après les avoir soigneusement rangés dans son portefeuille, il s’est dirigé vers la sortie pour récupérer sa bicyclette et débuter sa journée de travail, avec un sentiment de colère et de frustration absolue face à ce que représente la survie quotidienne au Zimbabwe.« L’argent que nous donnent les banques ne suffit pas. J’ai emprunté 500 milliards de dollars zimbabwéens afin que mes deux enfants puissent payer le transport scolaire et être nourris pendant les trois prochains jours, mais avec ce que nous donnent les banques, je vais devoir faire la queue ici cinq jours consécutifs avant de pouvoir rembourser cette somme », a dit M. Nyandoro à IRIN.« Le plus contrariant, c’est que je dois trouver d’autres excuses à fournir à mon patron pour pouvoir de nouveau venir faire la queue à la banque ».Cependant, compte tenu du taux d’inflation qui sévit actuellement au Zimbabwe (2,2 millions de pour cent), et qui continue de grimper quotidiennement, « si je ne récupère pas l’argent tout de suite, j’ai peur qu’il perde progressivement de la valeur avec le temps », a-t-il dit.En théorie, il lui faudra six jours pour retirer son salaire de 600 milliards de dollars zimbabwéens (environ 7,50 dollars américains). Mais c’est sans compter les queues à la banque et les pénuries d’espèces qui peuvent saper les plans les mieux conçus.Par ailleurs, à la fin de la journée, son salaire lui permettrait d’acheter au plus un sac de 20 kg de semoule de maïs, compte tenu des prix actuels sur le marché parallèle.« Je revends des briques que j’achète bon marché sur mon lieu de travail en tant que membre du personnel, et grâce à ces revenus supplémentaires, je dispose d’espèces qui me permettent d’arrondir mes fins de mois », a dit M. Nyandoro pour expliquer comment il faisait face.Son épouse vend également des légumes sur un stand à proximité de leur domicile pour aider à subvenir aux besoins de la famille.Espèces à vendreCharlotte Sibanda, une infirmière de 28 ans qui travaille dans une clinique privée, se tourne vers le marché parallèle lorsque ses supérieurs ne lui laissent pas le temps de passer à la banque. Les magasins qui disposent d’espèces les mettent à la disposition des clients moyennant des frais.« Les supermarchés prennent une commission et nous facturent des frais pour tout paiement par chèque. Pas plus tard qu’hier, j’ai signé un chèque de 400 milliards de dollars zimbabwéens, et touché 300 milliards de dollars zimbabwéens en espèces », a-t-elle expliqué à IRIN.D’après Mme Sibanda, les frais peuvent varier, mais la plupart des magasins de Bulawayo facturent environ 15 pour cent de commission pour les espèces.Collin Mandizvidza, un chef d’entreprise local qui tient un commerce de matériel informatique en ville, ne voit pas l’intérêt de déposer ses recettes à la banque, tellement il est difficile de remettre la main sur cet argent.« Les limites de retrait sont dérisoires. Par conséquent, je vends les espèces que je touche aux personnes qui règlent par chèque » a-t-il indiqué.Gideon Gono, directeur de la Banque de réserve, a affirmé que la banque était en train d’envisager sérieusement d’augmenter les limites de retrait. « La Banque centrale revoit actuellement les limites quotidiennes de retrait, suite à de nombreuses démarches du public », a-t-il annoncé récemment.Il a toutefois reproché à la communauté commerçante de profiter de la situation et de faire grimper les prix. « La Banque centrale constate avec inquiétude les augmentations générales et injustifiées des prix des biens et services, et appelle la communauté commerçante à appliquer des pratiques commerciales conformes à l’éthique. »

Retour inattendu de Alpha Ibrahima Keïra aux commandes



Alpha Ibrahima Keïra a été nommé ce vendredi, Secrétaire Général à la Présidence, par un décret présidentiel, en remplacement de Mamadou Sam Soumah, qui devient désormais le Directeur Général de la Caisse Nationale de la Sécurité Sociale.Le retour Alpha Ibrahima Keïra aux commandes, qui est désormais la 2ème personnalité de gouvernement Souaré, après le Premier Ministre, est le résultat d'une longue lutte clanique entre le camp présidentiel et leurs adversaires.
Proche du Chef de l'Etat le Général Lansana Conté, ayant l'avantage d'avoir une femme qui est la soeur directe de l'épouse du Chef de l'Etat Hadja Kadiatou Seth Conté, Alpha Ibrahima Keïra avait croisé le fer aux syndicalistes, pendant la première grève de février 2006. Ministre de la Foction Publique à l'époque, le nouveau secrétaire Général à la présidence avait menacé de licencier tout fonctionnaire qui suivrait le mot d'ordre de grève, et il avait dit qu'il considérait comme démissionnaire tout fonctionnaire qui se rendait au lieu de travail.Depuis cette date, il a été la cible des syndicalistes et les populations qui se sont battus corps et âme pour empêcher son retour. Limogé par Fodé Bangoura en Septembre 2006, par un décret du Président de la République, un contredécret avait été publié les 24 heures qui ont suivi son limosage pour lui ramener à ce poste.Il a fallu attendre la vague de contestation de janvier 2007, pour le débarquer au Poste du Ministre des Transports. A sa passation de service, en 2007, l'homme avait: "l'histoire jugera", fin de citation.En devenant Secrétaire Général à la Présidence, Aplha Ibrahima Keïra sera sans doute le nouvel homme fort de l'équipe gouvernementale.

48 heures après son départ à la présidence, Mamady Sam Soumah revient en force

Un véritable coup de théâtre qui confirme la lutte des clans au sommet de l'Etat. Mamady Sam Soumah, après avoir été débarqué de la présidence, au profit d’Alpha Ibrahima Keïra, et nommé vendredi dernier Directeur Général de la Caisse Nationale de la Sécurité Sociale, revient à la présidence en qualité de Ministre d'Etat chargé des Activités Présidentielles, 48 heures après. Alors que Keira reste à son poste de Secrétaire Général à la présidence.
Quel rebondissement! Une confusion totale. On pourrait sans doute s'attendre à un conflit de compétence, car rien ne justifie la création du poste du Ministre d'Etat chargé des Activités Présidentielles. Ce décret intervient à un moment où la concession du contrat minier avec Rio Tinto vient d'être annulée. Pendant que les uns soutiennent, les autres s'opposent de la concession minière. Ensuite, la question qu'on se pose actuellement est de savoir est-ce que réellement le Président de la République est l'initiateur de ces deux décrets.Le fait de ramener Sam Soumah aux commandes, qui devient désormais le supérieur hiérarchique de celui qui l'a remplacé, il y a 48 heures, pour un poste stratégique laisse à réfléchir. Ceci prouve à suffisance que le pays est pris en otage par le lobby qui gravite autour du Chef de l'Etat.Des attitudes qui visent à affaiblir l’Etat et qui ramène le nombre de Ministères à 37, pendant que les Guinéens espéraient la tenue des élections législatives avant la fin de l'année. Ce scrutin qui permet aux Guinéens de renouveler les députés de l'Assemblée Nationale, risque d'être reporté à nouveau pour une date ultérieure. Ce qui permet aux clans de se repositionner avant l'échéance électorale et de dicteur leur lois.

L'attaquant du syli national, Souleymane Youla prêté au club turc d' Eskisehirspor

L'international guinéen, Souleymane Youla s'apprête à rejoindre le club turc d'Eskisehirspor selon un communiqué publié sur le site de ce club.L'attaquant du syli national est prêté par Lille jusqu'à la fin de la saison à la formation d'Eskisehirspor.Souleymane Youla, 26 ans qui évolue depuis trois ans en ligue 1 française va donc rejoindre le championnat de Turquie où il a évolué entre l'été 2001 et janvier 2006 avec Genclerbirligi et le Besiktas Istanbul.

sexta-feira, 1 de agosto de 2008

Hyperdynamics : Le premier baril de pétrole guinéen sera disponible en 2009

Sur invitation du gouvernement, une forte délégation de Hyperdynamics, conduite par son président directeur général, Kent Patrick Watts, a séjourné du 21 au 25 juillet dernier à Conakry. Au cours de son séjour, le groupe de Hyperdynamics a rencontré le Premier ministre, Dr. Ahmed Souaré, le ministre secrétaire général à la présidence, Sam Mamady Soumah, des ministres au nombre de 15. Le séjour des investisseurs américains a été agrémenté par un spectacle ''Doundounba'' offert par l'union des femmes de Sanankörö (Kouroussa) et un dîner au restaurant le Rocher.
En visite en Guinée, la forte délégation de Hyperdynamics s'est d'abord réjouie du raffermissement des relations entre sa filiale guinéenne SCS Corporation et les nouvelles autorités guinéennes. Ensuite, au cours de ses différentes prises de contact dans les départements ministériels, le patron de Hyperdynamics, accompagné de son puissant groupe de Lobbying a renouvelé le souhait de voir se rétablir rapidement entre sa société et la Guinée, un partenariat ''gagnant gagnant''.Une nouvelle dynamique qui, une fois engagée, pourrait être bénéfique à tous. Les acquis potentiels du pays, notamment en ce qui concerne sa richesse en pétrole et gaz découverte aux larges de Boké, préfecture située au nord ouest de la Guinée, intéressent à plus d'un titre Hyperdynamics qui, à travers son exploration dans les eaux, s'est effectivement rendu compte qu'il y a du pétrole en grande en quantité.

La Guinée débourse près de 300 millions FG pour les JO de Pékin

le gouvernement guinéen a déboursé près de 300 millions de francs guinéens, soit environ 30 millions de FCFA, pour couvrir les frais de participation de ses athlètes aux Jeux olympiques de Pékin (Chine), qui s’ouvre dans une semaine, a appris, jeudi, APA de source officielle.Ce montant va servir au transport et aux primes des athlètes et à l’achat d’équipements.La Guinée sera représentée dans la capitale chinoise dans trois disciplines. Il s’agit de l’athlétisme, de la natation et du taekwondo.Le départ pour Pékin des athlètes et de leurs encadreurs est prévu ce vendredi.Le Premier ministre guinéen, Dr Ahmed Tidiane Souaré, qui représentera la Guinée à la cérémonie officielle d’ouverture des JO, lui, quittera Conakry, mardi prochain, pour la Chine.La première participation de la Guinée aux JO remonte à 1964, à Tokyo.

Un étudiant guinéen victime d'un accident de circulation à Paris

Un jeune étudiant guinéen a été victime d'un accident de circulation lundi dernier à Paris.Ousmane Sow, étudiant en Génie civil bâtiment est toujours plongé dans un coma artificiel afin de continuer les opérations vasculo-cérébrales, à l'hôpital Pitié salpêtrière de Paris.De sources médicales, ses jours ne sont pas en danger.A noter que chaque année, la France accueille des dizaines d'étudiants guinéens qui sont inscrits dans les universités françaises, notamment à Paris. Nous y reviendrons...

Les étudiants guinéens de Montpellier dénoncent la "passivité" de l'ambassade de Guinée à Paris!

Les étudiants guinéens de Montpellier ont dénoncé mercredi, la passivité de l'ambassade de Guinée à Paris, suite au décès d'Oumar Diallo, un jeune étudiant à l'institut des sciences de l'entreprise de Montpellier." Nous dénonçons la passivité des autorités guinéennes de France qui n'ont toujours pas fait signe, malgré nos démarches", a regretté Boubacar Biro Diallo, Président de l'association des étudiants guinéens de Montpellier."Ils ne sont là que quand il s'agit de faire la fête", a t-il poursuivi.Les associations estudiantines de France sont actuellement mobilisées pour collecter des fonds et assister la famille du défunt. "Comme d'habitude, ce sont les amis et proches qui s'occupent de tout(...) on a l'impression que les guinéens vivant à l'étranger sont des apatrides", a ajouté le représentant des étudiants guinéens de Montpellier.A noter que le corps d'Oumar Diallo sera rapatrié en Guinée le dimanche 3 août 2008 par un vol régulier d'Air France et l'enterrement est prévu pour le lundi 4 août à Conakry.Pour toute assistance, composer le numéro suivant:(0033) 06 67 80 61 30